SNIF, SNIF

Publié le par roudounet

Rien qu'en lisant mon titre, je sais que vous avez déjà compris. Eh oui ma cousine est repartie dans son nord lyonnais, et moi je reste içi, seule, sans dame de compagnie. La chute est dure chaque fois, mais bon le moral est bon et on va réattaquer le cours normal de la vie, enfin de tous les jours, avec les corvées, les obligations mais aussi la piscine.
Gisèle n'a pas voulu venir à la piscine avec moi, et comme je ne pouvais pas la laisser seule, on est allé qu'une seule fois. Après elle avait mal aux genoux, l'eau n'était pas très chaude etc....

Vous me direz on n'a pas été non plus à la plage, même notre chemin des douaniers vers la Mala était fermé. On a quand même fait de belles balades, et du shopping aussi.
Tiens à ce propos, ça y est je me suis trouvée 2 maillots de bain. Je vais pouvoir jeter ceux qui m'ont fait tout l'hiver à la piscine, à moins que je ne les garde pour la rentrée d'octobre.
Je sais j'ai oublié de vous raconter plein de choses, mais bon je n'avais pas beaucoup de temps.
D'abord j'ai zappé le repas d'anniversaire de Yohann, pourtant c'était bien bon, on s'est bien régalé, on a pris du plaisir à voir le petit bonhomme bien content de tous ses cadeaux. Une bonne journée passée en famille et entre amis.
Après un autre repas que je n'ai pas raconté. C'est celui chez nos cousins d'Italie, Alfred et Lucienne. On est donc allé Gisèle, mon mari et moi, et ne pas oublier Gérard et Suzanne, qui sont leurs voisins de Monaco et compagnons de repas du club du 3ème âge (moi je n'y vais pas, je ne suis pas encore entrée dans le 3ème âge HAHAHAHA).
Bon à part la route qui n'est pas top, surtout le retour avec les 2 hommes bien pleins de vins, liqueurs et autres, mais heureusement c'est Gisèle qui a conduit.
Par contre que dire du repas, c'est digne des noces de Cana, car en fait lorsqu'on avait vidé un plat, il y en avait un autre qui arrivait de la cuisine, ils se multiplaient comme par miracle.
En détail, on a mangé : pissaladière, petits artichauts à l'huile et olives de leur fabrication en apéritif. Puis jambon cru d'espagne, qu'ils avaient ramené de leur voyage, et melon. Fleurs de courgettes farcies, poivrons grilés aux capres (encore les leurs). D'ailleurs on en a cueilli et maintenant c'est dans un bocal avec le vinaigre, on verra dans 1 mois pour les manger. Ensuite lasagnes aux artichauts, un vrai délice, brochettes de chèvre, cotelettes d'agneau et saucisses le tout au grill accompagné de pommes de terre de la campagne bien sur.

Fromage et gâteau aux abricots. Tout ça arrosé de différents vins toujours de leur cru, et des liqueurs maison (limoncello et verveine). Alors vous avez compris pourquoi les hommes n'étaient plus capables de conduire surtout sur cette petite route secondaire où 2 voitures se croisent difficilement.

Bon j'ai assez écrit, une petite image de théière rapportée par Gisèle au début de son séjour.          

 

 

 

           

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